Il existe, selon la classification utilisée, entre 17 et 20 espèces différentes de manchots. Toutes vivent dans l’hémisphère sud, allant des côtes antarctiques (manchot empereur, manchot adélie) à l’équateur (manchot des Galapagos).
Selon l’UICN, qui répertorie sur sa Liste Rouge toutes les espèces vivantes menacées, les manchots sont après les albatros la seconde famille d’oiseaux la plus en danger sur Terre.
Il existe, selon la classification utilisée, entre 17 et 20 espèces différentes de manchots. Toutes vivent dans l’hémisphère sud, allant des côtes antarctiques (manchot empereur, manchot adélie) à l’équateur (manchot des Galapagos).
Selon l’UICN, qui répertorie sur sa Liste Rouge toutes les espèces vivantes menacées, les manchots sont après les albatros la seconde famille d’oiseaux la plus en danger sur Terre.
Il existe, selon la classification utilisée, entre 17 et 20 espèces différentes de manchots. Toutes vivent dans l’hémisphère sud, allant des côtes antarctiques (manchot empereur, manchot adélie) à l’équateur (manchot des Galapagos).
Selon l’UICN, qui répertorie sur sa Liste Rouge toutes les espèces vivantes menacées, les manchots sont après les albatros la seconde famille d’oiseaux la plus en danger sur Terre.
Le gorfou sauteur subtropical est la seule espèce de manchots à peupler l’île Amsterdam (Terres australes et antarctiques françaises), dans l’océan Indien. On le retrouve aussi sur d’autres îles australes telles que Tristan da Cunha ou les Malouines en Atlantique.
Il fait partie des espèces de manchots les plus vulnérables, classé “En danger d’extinction” par l’UICN.
Contrairement à ses comparses de l’Antarctique qui se déplacent pas mal en glissant sur leur ventre, ou même à ses cousins plus au chaud qui marchent sur des plages de sable fin, le gorfou sauteur a décidé lui de choisir pour lieux de vie… les rochers ! Et plus précisément les zones côtières constituées de gros blocs rocailleux en pagaille, histoire de se rendre la vie plus facile voyez-vous 😀
Du coup pas de ventriglisse ni de sprint possibles, le gorfou sauteur progresse principalement (et comme son nom l’indique… !) par petits sauts. De petits bonds en avant qui envoient valser ses aigrettes couleur pissenlit dans une danse plus ou moins ordonnée.
Sur l’île Amsterdam, c’est dans la zone basse des falaises d’Entrecasteaux, au sud-ouest, qu’il a élu domicile. Pour rejoindre sa colonie située à plusieurs dizaines de mètres de hauteur il lui faut d’abord réussir à accoster : c’est un vrai challenge en soi lorsque l’océan s’écrase en gros rouleaux sur la plage qui n’a de “plage” que son emplacement ! >> De gros blocs de basalte empilés chaotiquement sur lesquels le gorfou vient s’échouer presque délicatement (…!). Il a à peine le temps de s’ébrouer un coup pour dégager son plumage de l’eau salée qui s’y accroche, et déjà il faut commencer à sauter pour s’éloigner du rivage et éviter d’être emporté par la vague suivante.
Au prix de longs, très longs efforts, et d’un lot de chutes et glissades rattrapées parfois in extremis du bout du bec, il finira par atteindre la zone de nidification dans les herbes folles de la muraille verticale.
Sur l’île Amsterdam, c’est dans la zone basse des falaises d’Entrecasteaux, au sud-ouest, qu’il a élu domicile. Pour rejoindre sa colonie située à plusieurs dizaines de mètres de hauteur il lui faut d’abord réussir à accoster : c’est un vrai challenge en soi lorsque l’océan s’écrase en gros rouleaux sur la plage qui n’a de “plage” que son emplacement ! >> De gros blocs de basalte empilés chaotiquement sur lesquels le gorfou vient s’échouer presque délicatement (…!). Il a à peine le temps de s’ébrouer un coup pour dégager son plumage de l’eau salée qui s’y accroche, et déjà il faut commencer à sauter pour s’éloigner du rivage et éviter d’être emporté par la vague suivante.
Au prix de longs, très longs efforts, et d’un lot de chutes et glissades rattrapées parfois in extremis du bout du bec, il finira par atteindre la zone de nidification dans les herbes folles de la muraille verticale.