La Grave.
Quand mon amie Typhaine m’a décrit cet endroit pour la première fois, c’était peu ou prou avec ces mots :
“Isa c’est magnifique comme paysage, je suis certaine que tu adorerais ! La carte postale parfaite de la montagne avec tous ses environnements réunis dans le cadre : les forêts, les torrents et cascades, les alpages, les falaises minérales, et les sommets enneigés !”
La Grave.
Quand mon amie Typhaine m’a décrit cet endroit pour la première fois, c’était peu ou prou avec ces mots :
“Isa c’est magnifique comme paysage, je suis certaine que tu adorerais ! La carte postale parfaite de la montagne avec tous ses environnements réunis dans le cadre : les forêts, les torrents et cascades, les alpages, les falaises minérales, et les sommets enneigés !”
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Niché sur un flanc de vallée à 1500 mètres d’altitude, le village de La Grave d’où est prise cette photo fait face à la scène que j’ai découverte quelques mois plus tard telle que me l’avait contée Typhaine.
“Re” découverte serait un terme plus approprié, car si le massif du Mont Blanc est celui qui a accueilli quasiment tous mes étés depuis l’adolescence, celui des Ecrins m’avait lui déjà vue crapahuter dans mes plus tendres années d’enfance. J’en avais depuis oublié quasiment tout souvenir, et c’est donc avec un regard neuf et une vingtaine d’années de plus au compteur que j’ai posé les yeux sur le panorama époustouflant de ce paradis alpin.
Octobre touchait à sa fin, et les bois de mélèzes et feuillus flamboyaient encore de mille teintes orangées lorsque les premières neiges sont venues recouvrir l’automne de leur manteau immaculé.
J’ai choisi d’immortaliser cette vue dont les lignes directrices s’entrecroisant ont titillé mon œil avide de géométrie, dont l’opposition entre la palette chaude du fond de vallée et les couleurs froides des hauts sommets a satisfait mon amour des contrastes aussi.
🏔️