L’île Amsterdam
L’île Amsterdam (Terres australes et antarctiques françaises) est un petit volcan d’une soixantaine de kilomètres carrés isolé au cœur de l’océan indien : elle serait l’île la plus éloignée de tout continent au monde, et est dépourvue de tout habitant permanent. Seuls la foulent une poignée d’hivernants se relevant année après année sur sa petite base scientifique Martin-de-Viviès au nord.
L’île Amsterdam
L’île Amsterdam (Terres australes et antarctiques françaises) est un petit volcan d’une soixantaine de kilomètres carrés isolé au cœur de l’océan indien : elle serait l’île la plus éloignée de tout continent au monde, et est dépourvue de tout habitant permanent. Seuls la foulent une poignée d’hivernants se relevant année après année sur sa petite base scientifique Martin-de-Viviès au nord.
Les falaises d’ Entrecasteaux
L’île a une forme assez régulière typique des volcans émergés. Un cône tronqué par des caldeiras en son sommet, dont les pentes se terminent au contact de l’eau en de petites falaises d’érosion marine d’une trentaine à une soixantaine de mètres de hauteur.
On distingue deux exceptions notables à cette morphologie : au nord de l’île, une zone où la pente du volcan rejoint l’océan en douceur sans ressaut, c’est là qu’a été implantée la base ; à l’ouest a contrario, les falaises atteignent une ampleur décuplée de plus de 700 mètres ! Un mur vertigineux qui s’explique par l’effondrement passé d’une partie de l’île le long de deux failles tectoniques.
Ce sont ces falaises que vous retrouvez au coucher du soleil sur le poster que je vous propose aujourd’hui. Elles abritent en leur cœur des colonies d’albatros à becs jaunes, de gorfous sauteurs subtropicaux, d’albatros fuligineux à dos sombres, et à leurs pieds comme tout autour de l’île, des otaries à fourrure subantarctiques.
Les falaises d’ Entrecasteaux
L’île a une forme assez régulière typique des volcans émergés. Un cône tronqué par des caldeiras en son sommet, dont les pentes se terminent au contact de l’eau en de petites falaises d’érosion marine d’une trentaine à une soixantaine de mètres de hauteur.
On distingue deux exceptions notables à cette morphologie : au nord de l’île, une zone où la pente du volcan rejoint l’océan en douceur sans ressaut, c’est là qu’a été implantée la base ; à l’ouest a contrario, les falaises atteignent une ampleur décuplée de plus de 700 mètres ! Un mur vertigineux qui s’explique par l’effondrement passé d’une partie de l’île le long de deux failles tectoniques.
Ce sont ces falaises que vous retrouvez au coucher du soleil sur le poster que je vous propose aujourd’hui. Elles abritent en leur cœur des colonies d’albatros à becs jaunes, de gorfous sauteurs subtropicaux, d’albatros fuligineux à dos sombres, et à leurs pieds comme tout autour de l’île, des otaries à fourrure subantarctiques.
Les falaises d’ Entrecasteaux
L’île a une forme assez régulière typique des volcans émergés. Un cône tronqué par des caldeiras en son sommet, dont les pentes se terminent au contact de l’eau en de petites falaises d’érosion marine d’une trentaine à une soixantaine de mètres de hauteur.
On distingue deux exceptions notables à cette morphologie : au nord de l’île, une zone où la pente du volcan rejoint l’océan en douceur sans ressaut, c’est là qu’a été implantée la base ; à l’ouest a contrario, les falaises atteignent une ampleur décuplée de plus de 700 mètres ! Un mur vertigineux qui s’explique par l’effondrement passé d’une partie de l’île le long de deux failles tectoniques.
Ce sont ces falaises que vous retrouvez au coucher du soleil sur le poster que je vous propose aujourd’hui. Elles abritent en leur cœur des colonies d’albatros à becs jaunes, de gorfous sauteurs subtropicaux, d’albatros fuligineux à dos sombres, et à leurs pieds comme tout autour de l’île, des otaries à fourrure subantarctiques.